L’enjeu est de taille, car on a atteint des limites de productions, dues à la rareté des lieux où le cacao pousse. Ajoutez à cela l’instabilité politique de pays comme la Côte d’Ivoire (actuellement plus gros producteur mondial de Cacao), il n’en fallait pas plus aux financiers pour voir le commerce équitable comme la nouvelle arme probable permettant à la compagnie de sécuriser ses approvisionnements et donc son chiffre d’affaire…
Voilà comment le segment “éthique” marginal sur un secteur peut devenir “mainstream” au service de la finance.
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